Direction musicale Hervé Niquet
Chœur et Orchestre
Le Concert Spirituel
Représentations
Dimanche 28 mars • 16h
Informations
- TARIFS :
Cat.1
normal 30€ | massicois 23€
Cat. 2
normal 23€ | massicois 19€
Cat. 3 (strap.)
normal 17€ | massicois 14€
- DURÉE :
1h30 entracte compris
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Mozart à Salzbourg
Dimanche 28 mars • 16h
Le Concert Spirituel • Hervé Niquet
Le chœur et l’orchestre du Concert Spirituel, dirigé par Hervé Niquet magnifient messes brèves de Mozart et œuvres des frères Haydn.
Quoi de plus subtil que de laisser la musique transmettre, sans mots, les idées du texte divin ?
Le programme de ce concert nous invite à expérimenter ce questionnement, les Messes brèves KV 192 et KV 194 de Mozart, adoptant chacune une position différente. Le Te Deum n°1 en do majeur de Haydn et surtout l’Ave verum KV 618 de Mozart cherchent la synthèse. Ils répondent en cela à l’idéal d’équilibre considéré comme indispensable à la beauté par la société du XVIIIe siècle. Dépouillées de la dispersion qu’engendre l’illustration d’un texte mais aussi d’un trop grand développement instrumental, ces deux pièces offrent un caractère épuré. L’expression ramenée à l’essentielle touche alors au plus intime.
« La brièveté de ces messes salzbourgeoises, due probablement à un officiant préférant la rapidité des offices à la pompe lourde et sans fin des grandes messes, nous permet d’en jouer deux dans la même soirée. Y adjoindre prélude, graduel, offertoire et motet de communion sera un jeu d’enfant et une gourmandise de chercheur en piochant dans les ouvrages des frères Haydn, Michael et Joseph. » Hervé Niquet
Le programme de ce concert nous invite à expérimenter ce questionnement, les Messes brèves KV 192 et KV 194 de Mozart, adoptant chacune une position différente. Le Te Deum n°1 en do majeur de Haydn et surtout l’Ave verum KV 618 de Mozart cherchent la synthèse. Ils répondent en cela à l’idéal d’équilibre considéré comme indispensable à la beauté par la société du XVIIIe siècle. Dépouillées de la dispersion qu’engendre l’illustration d’un texte mais aussi d’un trop grand développement instrumental, ces deux pièces offrent un caractère épuré. L’expression ramenée à l’essentielle touche alors au plus intime.
« La brièveté de ces messes salzbourgeoises, due probablement à un officiant préférant la rapidité des offices à la pompe lourde et sans fin des grandes messes, nous permet d’en jouer deux dans la même soirée. Y adjoindre prélude, graduel, offertoire et motet de communion sera un jeu d’enfant et une gourmandise de chercheur en piochant dans les ouvrages des frères Haydn, Michael et Joseph. » Hervé Niquet
Wolfgang Amadeus Mozart
Messe brève en fa majeur KV. 192
Messe brève en ré majeur KV. 194
Sonate d’église en do majeur KV. 328
Sonate d’église en la majeur KV. 225
Ave verum KV 618
Joseph Haydn
Offertorium « Non nobis Domine » Alleluia, ext. de « O coelitum beati », motet
Concerto pour orgue (2nd mouvement Adagio)
Te Deum n°1 en do majeur
Michael Haydn
« Sub tuum praesidium » MH 654 en do majeur
Ave verum en fa majeur